Test d'aptitudes de Thomas John Havoc: Infiltration et Assassinat

Mission: infiltration silencieuse, puis assassinat des généraux rebelles.

Nous avons appris par un de nos informateur que des généraux d'une faction rebelle terrienne comptaient faire une table ronde dans un vieil entrepôt à la limite de la zone 4 et de la zone 3.
Votre mission est de les assassiner, après les avoir trouver, ainsi il s'en suivra une guerre intestine de pouvoir dans leur rang, et nous les écraserons ensuite facilement.
Vous commencerez par nous infiltrer silencieusement, si jamais vous êtes découvert, les généraux fuiront sans même vous laissez le temps de les apercevoir.
Une fois les généraux mort, vous ferez votre sortie comme bon vous semble.
Vous faites partie d'une équipe de 6 hommes, tous issu du CAT, armée des fusils à balle sonique silencieuse, et muni de lunette infra vision, sans oublier les vibro-couteau traditionnelle, la vitesse de sortie de la lame est toujours aussi rapide quand il s'agit de trancher une gorge. Vous êtes menée par un capitaine chevronné ayant depuis longtemps fait ses preuves.

Voilà bonne chance

[Le casque virtuel posé sur la tête de Havoc s’enclencha, et se connecta à son système nerveux, chacun de ses membres réagissant dans l’appareil comme s’il l’avait effectué en vrai]

Connexion !

Briefing

Et bien… Thomas John Havoc avait quitté sa vie de la zone 4 pour finalement intégrer le CAT, mais ce dernier l’y envoyait en mission… Le point positif de la chose est qu’il savait déjà beaucoup de choses sur cette zone, et avec un peu de chance, les généraux rebelles étaient certains de ceux qui avait anéantit le groupe dont il faisait parti dans son enfance. C’était très stratégique d’assassiner les généraux, ainsi chacune de leurs factions prendraient ça pour une trahison, ce qui mènerait à la guerre civile pour les déstabiliser. Il aurait été nettement plus facile de préparer le terrain avant la réunion des généraux, histoire de placer une bombe ou deux, mais les informations tombaient au compte goutte, et le lieu de la réunion des généraux n’avait été communiqué que tardivement. Tom regarda son équipement :

*Voyons… un vibro-couteau traditionnel, pratique à planquer ça… Sa fait une arme de poing. Ouah ! Classe les lunettes ! Avec ça, je vais voir dans le noir ! et ce gros fusil c’est quoi… Fusil à balle sonique silencieuse ? Arme de tir longue portée quoi… Rien pour le corps à corps à part l’arme de poing. Apparemment, on va surtout devoir tuer dans le silence, pas seulement infiltrer la zone.*

Alors le capitaine s’approcha de l’équipe des 6 membres du CAT, et refit une dernière fois le briefing de la mission.

Capitaine : Alors mes coco ! Il y a des généraux rebelles qui veulent s’unir contre les forces en place de Babylon dans la zone 4, frontière zone 3. On va devoir faire en sorte qu’ils ne puissent plus devenir diplomate ailleurs que dans un cyber-caveau. Primo, infiltration dans leur ‘base’ de fortune, et ensuite discretos on leur tire dans le dos et/ou on les égorge. (Ne retenez que la mention utile). Votre équipement vous a été livré il y a quelques minutes et apparemment certains s’y sont déjà familiarisé… C’est un peu pauvre, mais il va falloir faire avec.
Avant de partir, je vous donne quelques conseils, notamment pour les nouveaux :
Infiltration = discrétion
La salle de leur table ronde est encore floue. On sait juste qu’elle se trouve entre les deux zones dans leur ‘campement’. Mais comme c’est une discussion importante pour eux, c’est probablement la plus gardé. Conclusion: faut aller là où il y a du monde !
C’est forcément une salle avec plusieurs issue au cas où ils aient pensé à une fuite éventuelle… Il faut donc sécuriser toutes les issues du bâtiment !
Pour ce qui est de l’organisation, on verra sur place en fonction des autres gugus et de leur matos…
Des questions ?

Havoc : Oui Capitaine !
Comment vas t’on pouvoir sécuriser une large zone avec les armes qu’on nous a fourni ?

Capitaine : Et bien utilise ta cervelle ! Il y a toujours des truc inflammable dans un camp… Mais pour la sortie plutôt. Et sinon, vous avez qu’à tuer un ennemi bien armé ! Vous croyez que sa se gagne aussi facilement les chevrons sur cet uniforme ?



// La suite vient, j'ai essayé de tout poster d'un bloc, mais j'ai eu un petit message rouge parce que mon message dépassait la longueur maximale autorisée //

Infiltration

Sur cette réponse assez froide, nous partîmes pour la zone en question… Comme dans ses souvenirs, la zone 4 était par endroit un amas de ruines et de débris après explosion. Tom avait son propre plan en tête. Il préférait se caler dans un endroit très sombre, et tirer discrètement… Le capitaine serait probablement l’un des premiers à entrer dans le bâtiment, ce n’était pas un de ces jeunes tire-au-flanc monté en grade avec leur argent !
Préférant circuler dans les débris et carcasses des immeubles de la Zone 4 pour s’approcher, ils arrivèrent sans trop de difficultés d’un côté sur le côté d’une grande bâtisse devant laquelle, des rebelles riaient en jouant aux cartes. Le seul obstacle qu’ils avaient eu pour en arriver là, c’était deux espions sensé surveiller les allers et venues dans le secteur. Ils avaient fini chacun avec un coup de couteau dans la gorge de la part du capitaine lui-même. En effet, dans leur repli, ils étaient tombé dans un amas de câblage qui les avait retenu.

Capitaine : Vous avez vu les jeunes ? Alors faites gaffe… Plus on s’approche, et plus c’est dangereux !

La zone 4 permettait des avancées plus facile, mais le risque était d’autant plus grand ! Alors que la zone 3 permettait moins bien la discrétion, mais était du coup mal surveillée. Devant la bâtisse, ils se rendirent compte qu’elle était en 3 étages donc le rez-de-chaussée. Une immense ventilation allait à l’étage le plus haut, et l’embouchure pour l’air chaud se trouvait dans le vide, au niveau du 2ème étage, en face d’un palier d’immeuble dont une grenade avait détruit le pan de mur. Avec l’aide des lunettes, ils purent aisément se rendre compte que la réunion allait avoir lieu dans le premier étage. Les portes en était plus que gardée ! Les quelques salles qui entouraient la salle du conseil étaient bondé de renégats. Apparemment, à part l’ascenseur interne, il y avait un escalier dans l’arrière bâtisse. Cela faisait à première vue 3 moyens d’accès à la salle. Seule la ventilation n’était pas gardée, et arrivait directement dans la salle au dessus de celle de la réunion, on y trouvait deux soldats surveillant depuis les fenêtres ouvertes.

*Les vitres de la salle de réunion sont toutes fermées. C’est mort pour tuer en sniper. Va falloir infiltrer et tuer à la va-vite… Et on va surtout devoir se disperser !*

Le capitaine nous demanda de nous rapprocher. Pour lui, c’était tout vu. 2 allaient rester dehors pour sniper les deux du dernier étage, pour permettre à 2 autres de passer par la ventilation, s’approprier leurs vêtements, et descendre à l’étage inférieur et tuer discrètement. 1 Personne seulement allait entrer la l’entrée principale en traversant le camp ennemi, et 2 personnes par l’escalier dans l’arrière bâtisse. Le capitaine et son second prendraient l’escalier à revers, la seule fille du groupe et l’autre plus maigre du groupe passeraient par la ventilation, Havoc et un autre resteraient à sniper. La place restante pour traverser le chemin des rebelles.

La fille et son co-équipier se retirèrent et passèrent d’immeuble en immeuble en surveillant du coin de l’œil l’endroit où ils allaient entrer tout en observant celui qu’ils venaient de quitter. Le problème des bâtiments dans la zone 4, c’est qu’ils manquent des murs. Et regarder un immeuble permet de voir presque au travers. C’est pourquoi ils avaient été choisi pour ce job: fin, agile et furtif. Ils étaient maintenant à l’étage de la ventilation de la maison en face du QG rebelle. En sautant de la maison précédente, la fille glissa sur un morceau de béton mal fixé et commençait à tomber.. Mais habilement, son co-équipier la rattrapa par la jambe et la tira, ce qui la ramena à l’étage en la faisant tomber sur lui, ce qui amortit le bruit qui passa inaperçu… Dangereuse cette zone 4… La bouche d’aération était là, mais ils ne pouvaient pas encore tenter d’y pénétrer si l’étage supérieur n’était pas sécurisé. Ils attendirent là en mettant leurs lunettes pour mieux se préparer.

Le capitaine et son lieutenant avaient fait le tour assez rapidement et étaient en zone 3, la moins surveillée, près de l’escalier. L’escalier était gardé par deux soldats de factions différentes. Un membre des « Natifs » et un autre des « Korribiens mort ». Deux factions réputées pour les attentats, notamment les évènements récent, comme une tentative de détournement de matériel de l’aéronavale. Les lunettes leur révélèrent à l’intérieur un escalier pas vraiment gardé. Coup de bol ! Le chemin serait plutôt rapide pour aller tuer les généraux. Mais encore fallait il aller jusqu’aux gardes armés de blaster Straats avec cristaux pour tir de dispersions ! Un seul tir avec cette foutue amélioration pouvait toucher jusqu’à 5 cibles de front… à deux, ils avaient avec ça de quoi protéger l’escalier de deux escouades de la RIAT. C’est pourquoi la discrétion était leur seul et unique avantage… Il fallait que les deux sniper soit prêts, ils étaient maintenant tous en position…

Thomas Havoc quand à lui posa son fusil en appuis sur un bloc de pierre, l’inclina de manière à viser le dernier étage, et appuya sa tête sur le canon du fusil à balle sonique silencieuse pour vérifier la visée. Ces expériences en balistiques se révélaient importante, bien que d’ordinaire il usait d’arme avec un gabarit bien plus imposant… Soudain, son oreille commença à lui jouer des tours, elle grésillait comme si sa radio avait des parasites. Il la retira et vérifia, mais sa radio était opérationnelle, aucun parasite sur cette fréquence… Il avait froid… Très froid… Mais il ne pouvait pas voir le laser rouge de visée de qui visait sa nuque… Il ne pouvait pas le voir, mais il savait qu’il était en danger ! Son camarade qui l’observait se tordre de froid savait que quelque chose n’allait pas… Mais quoi ? Lorsqu’il vit un point rouge bouger dans le dos de Havoc, il se retourna et tira. Le rebelle aussi, et la balle du sniper Commando partit à l’endroit où Havoc se trouvait 5 secondes auparavant, avant qu’il saute pour éviter ce tir mortel. Le bruit risquait d’ameuter les rebelles ! Bien que la balle silencieuse aie tué dans le plus grand calme le rebelle, le E-3 Blaster Rifle n’était pas aussi doux lors du tir ! Le temps pressait et Havoc tremblait d’excitation ! Il fallait faire vite ! Le capitaine de sa main droite désigna du doigt Havoc et lui indiqua le dernier étage avec son index et son majeur et baissa ensuite ses deux doigts. Ordre de tirer.
Mais Tom tremblait trop… Il sortit une cigarette, et reprit son fusil dans ses bras. Il le mit en joue et regarda la fenêtre ouverte. Un rebelle regardait pour tenter de trouver l’origine du bruit sourd. Havoc alluma sa cigarette, ce qui attira le regard du rebelle qui ne savait pas encore s’il s’agissait d’un voyant électrique où d’une lumière d’arme quelconque. Sa réflexion s’arrêta là, car une balle du fusil de Tom lui transperça la tête. Son voisin arma son fusil, mit l’index sur la gâchette et attendit que la silhouette derrière le premier corps se pointe… Effectivement, se dernier s’approcha de la fenêtre pour voir quelle était la cause de la réaction de sursaut de son ami. Le doigt de Hugues (le camarade de Havoc) glissa sur la détente, et à l’intérieur du fusil, le chien tapa sur le cul de la balle, qui partit du canon silencieusement pour rentrer dans le corps du rebelle comme un couteau rentre dans le beurre. Poumon, mort inévitable. La victime ne pouvait crier ou faire un appel au secours. Maintenant, il fallait faire vite !

Assassinat

La fille démonta en un temps record la grille au bout de l’embouchure de la ventilation, tandis que son compagnon vérifiait avec ses lunettes qu’on ne les surveillait pas. Ce côté là fut plus facile que prévus. Ils arrivèrent sans peine à rentrer dans la salle désormais déserte de vie, mais remplie par deux cadavres. Ils les tirèrent, prirent leurs habits par dessus leur combinaison, et reprirent le poste de leur prédécesseur, pour ne pas paraître suspect vu d’en bas. Avec leurs lunettes, ils surveillèrent les allers et venus à l’étage inférieur. Pas trop de grabuge à priori. Les quelques salles entourant la salle du conseil où se tenaient les généraux étaient calmes. La fille regarda la fenêtre au dessus des deux gardes de l’escaliers et lança un cailloux dans la direction opposé au Capitaine et son lieutenant. Puis, elle se rendit avec son compagnon à l’étage du dessous, déguisés tout les deux en rebelle. Au premier étage, c’était un couloir avec des salles plus ou moins remplis de rebelles, stock de munition et autre. La première salle, un seul soldat, qui venait à leur rencontre. Il leur demanda si la relève avait été effectué, mais le « Oui, nous avons été relevé » ne lui plus pas. Il dégaina son fusil, mais pas aussi rapidement que le couteau de la fille, qui lui coupa la gorge et les cordes vocales. Elle prit le corps pour l’enfermer dans un placard en récupérant ses armes. Un pistolet mitrailleur automatique avec bolts inferno et autres munition. Encore quelques salles devant lesquelles il fallait passer relativement calmement, et ils allaient entrer dans la salle des généraux. Gardé malheureusement.

Le Capitaine et son lieutenant virent le projectile destiné à distraire les deux gardes. L’un d’eux décida d’aller voir. Quand il fut assez éloigné, il se prit une salve de balle silencieuse, et s’écroula sur le sol au milieu des morceaux de bétons défoncé et de résidus de véhicule anti-gravité. Son camarade entendit le bruit d’un corps qui tombe et regarda. Il vit le cadavre et inspira pour crier. Une balle au fond de la bouche lui traversa la colonne. Les deux décidèrent de se dépecher de prendre l’escalier et les fusils des morts, car ceux-ci étaient bien meilleur pour les tir de couverture. Le capitaine entra en premier, monta les escaliers et laissa son lieutenant surveiller l’arrivée éventuelle par le bas de rebelles. Le signe furtif du lieutenant à l’adresse de Havoc et de Hugues signifiait que maintenant, ils devraient tout les deux empêcher le passage de quiconque voulait entrer dans la bâtisse. Le soldat restant qui devait passer par la porte principale se rapprochait, à couvert, petit à petit de la porte. Hugues surveillait que personne ne s’approche de lui, et Havoc fumait sa clope, à l’ombre pour qu’on ne voit pas le rouge de sa cigarette, tout en fouillant pour essayer de se trouver une arme à améliorer. Le sniper commando X-Zh 3 était très utile pour les combats à découvert. Pas pour la discrétion. Il enleva le barillet de recharge pour regarder le type de munition. Calibre inférieur à celui de leur fusil à balle sonique silencieuse. Il ne pouvait donc pas les intervertir. Il avait remarqué une sorte de citerne sur le mur du rez-de-chaussée, plus à gauche de la porte. Il accrocha les deux fusils ensemble, en croisant les manivelle pour le chargement, de manière à ce qu’un tir sur une arme permette le rechargement de l’autre. Pour ainsi effectuer des tir en quasi-continu.

La fille était à une porte entrebâillé du sas de l’entrée de la salle du conseil. Dans le sas, 3 gardes. Armé avec des fusil automatique. Les lunettes infra vision lui permirent de voir que l’un d’eux était assis, à moitié somnolant, un autre adossé contre le mur. Le dernier en revanche paraissait concentré. Le compagnon de la fille souri. Il s’accroupit, visa le bas du coup de celui qui était adossé au mur et n’hésita pas une seconde. La porte entrebâillé lui donnait une belle ligne de mire sur la partie latérale de son corps. La balle silencieuse alla se loger dans son cou. A la mort d’un être humain, tout son poids retombe. Mais comme il était adossé contre le mur, son corps ne tomba pas. A vrai dire, seule la tâche rouge qui s’étendait sur son épaule pouvait trahir sa mort. Le garde concentré remarqua que quelque chose n’allait pas. Il avait une main sur le fusil, l’autre sur l’épaule de son camarade. Lorsqu’il la retira pleine de sang, il se tourna vers la porte qui s’ouvrit avec deux membres de la CAT. Une terrible surprise qui le força à prendre son fusil à deux mains, mais la crosse du fusil de la fille dans le nez l’évanouît dans une gerbe de sang. Celui qui somnolait ne se réveilla que pour se prendre un coup de genoux dans le ventre suivit par un coup du lapin qui l’envoya au pays des rêves. La fille referma la porte du sas et son co-équipier observait les individus de l’autre côté de la porte. Apparemment, 6 généraux. De l’autre côté de la salle, Le capitaine et son lieutenant étaient sur le qui-vive. Ils avaient pu suivre avec leurs propres lunettes la prise du sas. Ils attendaient un signal… Mais lequel ?

Dehors, Havoc s’allongea avec ses deux fusils et tua le rebelle le plus proche avec deux balles silencieuses. Lorsqu’il s’écroula, les autres se rapprochèrent de lui pour voir ce qui se passait. Le soldat qui avançait prudemment en profita pour entrer dans le bâtiment. Mais la planque allait être découverte et déjà les soldats qui possédait des mitrailleuses les dirigèrent dans leur direction. Le dos de Havoc tremblait, il eu juste le temps de se jeter à l’horizontale dans la direction opposé à Hugues qu’une salve de mitraillette blaster arriva à l’endroit où il s’était caché. Il avait eu chaud. Le tir de blaster en revanche avait été ce que les autres attendaient…

Le capitaine défonça la porte d’un coup de pied en mettant son arme sur automatique et en laissant l’index sur la gâchette. Son tir de blaster passant dans le prisme de dispersion Straats se divisa en plusieurs tir de blaster qui partirent dans tout les sens dans la pièce. Le massacre pouvait commencer, les issues étaient bouché. L’un des généraux se leva en tirant un fusil de sous la table et son voisin dégaina un pistolet blaster. Mais la fille et son compagnon ayant ouvert la porte peu avant s’étaient faufilé dans leurs dos et la lame de leurs vibro-couteaux entrèrent dans leur chair et les lacérèrent pour les vider comme des porcs à l’abattoir. Les cris et tirs d’armes alertèrent tout les soldats dehors, qui voulurent se ruer sur la porte. Fermée par celui qui avait profité de la diversion auparavant. Piégé dehors, entre la porte fermée et Havoc et Hugues, fusils à la main qui tirèrent dans tout ce qui bougeait pour ne laisser personne entrer. Les mitrailleuses rebelles quand à elles commençaient à défoncer la porte et à tirer pour se défendre. Hugues se prit une balle perforante dans le bras gauche. Le PRISM de Havoc lui sauva la vie encore deux fois pour des tirs latéraux de rebelles qui étaient trop loin du QG et s’étaient rapproché par leur position. Celui qui s’était infiltré en revanche, voyait tout ceux qui n’était pas mort, dans les salles avant la salle du conseil, se ruer vers cette dernière sans prêter attention à lui. Il n’eu qu’à dégainer son pistolet de mitrailleur pour les tirer un à un.

Fuite

Dans la salle du conseil, les tirs fusaient, pour ne laisser personne s’échapper. Et bientôt on ne voyait plus que de la fumée dans la salle, au milieu des décombres et cadavres. Le lieutenant s’approchait de chaque corps pour les achever s’ils n’étaient pas tout à fait mort. Le soucis actuel de leur position est qu’ils s’étaient fait cerné et la sortie la plus proche était l’escalier, en bas desquels les rebelles commençaient à se rassembler.

Hugues : Eh, sa fait un moment qu’ils sont rentré ! Pourquoi ils sortent pas ?
Havoc : D’après les lunettes, ils sont encerclé… Comment on les sort ?
Hugues : Connaissant le capitaine, il aimerait bien un p’tit coup de main style Oktazoolka.
Havoc : C’est quoi ça ?
Hugues : Arme de tir longue portée ; gabarit artillerie lourde ; poids 10kg.
Havoc : Et on en a pas ?
Hugues : Nan, le QG nous a rien donné de plus…
Havoc : File moi un médicament !
Hugues : Pardon ? T’es malade ?
Havoc : File moi une gélule ! Jvais les sortir de là !
Hugues : Tiens… Mais jpige rien à ce que tu veux faire !

Havoc prit la gélule, la vida de sa poudre médicinale et chercha un jerricane de carburant. Il en remplit la gélule, prit une balle du E-3 Blaster Rifle dont il retira le culot et mit la gélule en enlevant un peu de poudre. Il remit le culot et chargea la balle dans le Fusil à balle sonique silencieuse.

*Sa devrait marcher… P’tain je tremble...*

Havoc reprit une cigarette, mit un genoux au sol, cibla la citerne sur la gauche de la porte et pressa la détente en fermant son œil non directeur. La balle possédant un gabarit inférieur à celui du fusil, elle partit plus lentement, mais l’impact sur la citerne créa une explosion suivie d’une déflagration qui envahit la zone. Hugues qui était en train de se bander le bras souri. Décidément, il en avait dans la caboche le jeune ! C’était une cuve de Deutérium… A en voir ce carburant et les débris de voiture aux alentours, le lieu devait être une ancienne station pour véhicule qui de part sa proximité avec la Zone 4 avait été vandalisée. L’explosion avait détruit un pan de mur, dans le sas de la salle du conseil. Lorsque le capitaine entendit l’explosion, il voulu s’y rendre, espérant trouver son salut dans une fuite improvisé. Mais il dut faire face au dernier général et ses soldats, arme à l’épaule. Il tira en continu, sans s’arrêter. Priant qu’il les aurait tous sans mourir. Lorsque enfin son arme tomba en panne, il ouvrit les yeux. C’était en réalité quelques hommes et non pas une dizaine comme il l’avait vu. Et le général ne servait en fait que de bouclier à l’un d’eux. Mais le tir de blaster à dispersion avait fait son office, maintenant en panne. Il découvrit le trou dans le mur et essaya de sortir. Il chuta donc du premier étage et tomba dans la cuve vide de deutérium. Les autres suivirent. Celui qui s’était infiltré par la porte principale était ressortit par la porte, ayant remarqué que l’agitation y était nulle.
Hugues malgré son bras blessé pouvait toujours tenir son arme. Aussi, il s’approcha de son capitaine avec les autres. Si ils restaient là, les autres rebelles des environs allaient arriver. Ils devaient partir au plus tôt !

Capitaine : Et bien… Infiltration réussie, assassinat réussi, Objectif rempli ! Maintenant, on fonce pour sortir ! Havoc devant, Hugues au milieu, Les autres en demi cercle derrière pour tirer !

C’est dans cette formation que tous traversèrent les rues de la zone 3 pour rentrer au QG, ils ne trouvèrent pas d’autres ennemis sur le chemin qui avaient probablement été plus intéressé par le feu d’artifice de la station.



// Pour l’arme, j’avais un autre nom que « E-3 Blaster Rifle », mais comme il y a une nouvelle liste des armes de tir comme les blaster, j’ai préféré l’intégrer. Je dis ça parce qu’un Blaster par définition n’est pas sensé tirer des munitions autres qu’énergétiques. J’espère que vous m’en voudrez pas !
Et le tout début, je me suis dit que comme ici c'est un centre d'entraînement virtuel, je pouvais le mettre en évidence pour faire un peu original... Je prends beaucoup de libertées désolé :s //

hello

jolie opération très bien mené. ça foisonne de détails bien pensés. les personnages forment une vrai équipe et travaille ensemble sans jouer les rambo chacun de son coté.

tu peux commencer a rp sur terre. j'ai hate de voir ce que ca donne

rien à redire de plus ^^

concernant ta remarque sur les armes, tu pouvais laisser tel quel, et garder le nom que tu avais trouver.
la liste des armes n'est pas complète, et pourras être en constante évolution. Tu peux donc en inventer une du moment que c'est dans l'entrainement, après une fois sur le rp en revanche il faudra te débrouiller pour l'avoir.
je compte faire un topic de création d'armes, suivant le type, et la classe.
enfin bref, bonne continuation